Test Studio et ASP.Net

Test Studio et ASP.Net

Contexte

Dans le cadre d’un projet important (> 3000 JH) développé en ASP.Net et interfacé avec l’outil de recherche Autonomy, l’objectif était d’automatiser les tests de non régression.

L’application comportait de nombreux écrans très spécifiques et des composants graphiques très riches (pour la plupart issus des bibliothèques de l’éditeur Telerik, tout comme Test Studio).

L’application devait également manipuler de nombreux fichiers externes, essentiellement des fichiers PDF, des fichiers Word et des fichiers Excel. Elle reposait également sur un ensemble de bases de données partagées avec des applications déjà existantes, auxquels nous n’avions pas accès pour des raisons de confidentialité.

Environnement technique

Il s’agit donc d’un environnement essentiellement Microsoft, avec des postes développeur sous Windows 7, Visual Studio 2010, SQL server 2008.

Les serveurs de test et les serveurs d’intégration étaient virtualisés, composés de plusieurs serveurs pour l’applicatif, la base de données et le moteur de recherche Autonomy. Ces serveurs simulaient également l’environnement du client avec un AD dédié.

Les tests étaient exécutés sur Internet Explorer 7.0.

L’intégration continue était gérée par CruiseControl.NET.

Mise en place

La mise en place des outils n’a pas posé de problème particulier, tout étant géré depuis Visual Studio.

L’outil Test Studio était encore jeune, mais le support de Telerik nous a permis de résoudre ou contourner rapidement les problèmes rencontrés.

Il a surtout fallut trouver des solutions pour gérer les nombreuses interfaces techniques.

Résultats

L’automatisation a été rendu particulièrement difficile du fait du grand nombre d’interfaces avec des bases de données (pas toujours directement disponibles) ou des fichiers externes. Il a fallut mettre en place des « bouchons » ou trouver des astuces pour valider le bon fonctionnement du système.

La couverture des tests est donc satisfaisante sur la partie interface utilisateur, mais incomplète sur certains processus qui ne sont pas directement accessibles à l’utilisateur.

L’exécution d’un test de non régression laisse donc encore une part importante à l’intervention humaine, mais il s’agit essentiellement de vérifier certains résultats (dans des fichiers ou des courriels).

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